بسم الأب والابن والروح القدس، الإله الواحد آمين
Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, un seul Dieu, Amen

Pourquoi "Nour Al Aalam" ?

Nous vivons dans une époque paradoxale. Alors que la science progresse à un rythme effréné et se répand largement, l'ignorance semble également se propager, surtout parmi les jeunes. Les réseaux sociaux prennent une place prépondérante, et de moins en moins de personnes se consacrent à la lecture et à l'étude. En parallèle, notre mode de vie de plus en plus sédentaire tend à nous éloigner des questions spirituelles et existentielles. Pourtant, il est aujourd'hui possible, plus que jamais, de répondre de manière argumentée à des questions qui tourmentent l'esprit humain depuis des millénaires. Existe-t-il un Dieu ? Jésus est-il un personnage historique ou fictif ? La Bible est-elle fiable ? L’islam résiste-t-il à l’épreuve de l’histoire et de l’archéologie ? Qu'en est-il de la composition du Coran et des sources islamiques ? Jésus a-t-il été crucifié et ressuscité ? Autant de questions qui peuvent aujourd'hui être résolues de façon définitive.

Deux vérités opposées ne peuvent coexister

Si nous acceptons, sans l'ombre d'un doute, que le fondement du christianisme repose sur la mort et la résurrection du Christ, comme il est explicitement mentionné dans la Bible : "Et si Christ n’est pas ressuscité, notre prédication est donc vaine, et votre foi aussi est vaine." (1 Corinthiens 15:14), alors l'islam, qui rejette ce fait sans équivoque (Coran, sourate 4:157), ne peut être intrinsèquement vrai. Soit la Bible et le christianisme disent vrai, et l'islam emprunte une voie différente, soit l'islam dit vrai et le christianisme est faux. Deux vérités opposées ne peuvent coexister, logique oblige. Il est donc crucial de trancher cette question.

La rédemption par le sacrifice de Jésus : un acte décisif et définitif

La doctrine chrétienne affirme que l'œuvre du Christ sur la croix est parfaite et éternelle : "Que le Dieu de paix, qui a ramené d’entre les morts le grand pasteur des brebis, par le sang d’une alliance éternelle, notre Seigneur Jésus." (Hébreux 13:20). Cet acte est le critère d'entrée dans le royaume des cieux. Comme le Livre de l'Apocalypse le souligne : "Et tous les habitants de la terre l’adoreront, ceux dont le nom n’a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie de l’agneau qui a été immolé" (Apocalypse 13:8), et encore : "Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l’étang de feu" (Apocalypse 20:15). L'agneau, ici, est une référence directe au sacrifice de Jésus. Partant de ce principe, l'œuvre de Jésus est parfaite, éternelle et suffisante. Après cela, il n'y a plus rien à attendre. Ni les apôtres, ni les premiers pères de l'Église n'attendaient d'autre événement que le retour de Christ pour juger les vivants et les morts : "Je t’en conjure devant Dieu et devant Jésus-Christ, qui doit juger les vivants et les morts, et au nom de son apparition et de son royaume"
(2 Timothée 4:1).

Le parfait se suffit à lui-même

Au-delà de la vérité, qu'y a-t-il sinon l'égarement ? (Sourate 10:32). Ainsi, qu'y a-t-il après la perfection de l'œuvre du Christ, si ce n'est l'imperfection ? Jésus a déclaré sur la croix : "Tout est accompli" (Jean 19:30). C'est pourquoi l'islam refuse catégoriquement d'accepter la mort expiatoire de Jésus, comme mentionné dans le Coran : "Et à cause de leur parole : 'Nous avons vraiment tué le Messie, Jésus, fils de Marie, le Messager d’Allah.' Or, ils ne l’ont ni tué ni crucifié; mais ce n’était qu’un faux-semblant !" (Sourate 4:157-158). L’éminent savant musulman Tahir bin Achour explique dans son œuvre "At-Tahrir wa at-Tanwir" que la crucifixion pourrait avoir eu lieu sans entraîner la mort, ce qui est nié dans le verset. Ainsi, selon l'islam, Jésus n'a ni été crucifié, ni tué.

La légitimité en jeu

En rejetant l'œuvre rédemptrice de Jésus-Christ, l'islam cherche à affirmer sa propre légitimité. Si l'islam acceptait la crucifixion, il perdrait toute légitimité, car cela reviendrait à reconnaître la perfection de l'œuvre du Christ. En niant la croix, l'islam justifie la continuité de ce qui n'aurait pas été achevé. Ainsi, il est impératif de trancher la question : Jésus est-il réellement mort et ressuscité ? La réponse déterminera la légitimité du christianisme ou l’existence même de l’islam.
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C'est dans ce cadre que "Nour Al Aalam" aspire à être un pilier d’argumentation, fondé sur l’histoire, les découvertes, et les textes musulmans eux-mêmes, mettant en évidence l'incapacité de l'islam à répondre à ces interrogations fondamentales. Restez connectés, la suite arrive bientôt !
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"Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira."
- Jean 8:32.